Galère des grèves

 


Avec toutes les galères provoquées par  les grèves, on ne fait pas très attention à beaucoup d’autres, à venir, qui sont déjà dans les tuyaux !


Bien évidemment, le principal sujet des prochaines semaines sera la hausse incessante des carburants, et là, ça semble irréversible, sauf, si l’Etat impose, -s’il le peut et s’il le veut- de la modération de la part des compagnies pétrolières, de plus en plus usurières et bénéficiaires… Très honnêtement, j’en doute ! La principale préoccupation des "princes" qui nous gouvernent, c’est de trouver de l’argeny afin de colmater de-ci – de-là, les trous financiers créés et laissés par leurs prédécesseurs (souvent du même clan) des années auparavant. Et côté TAXES, les carburants sont en première ligne, tout comme le tabac. A ce propos, à compter du 1er janvier 2008, ça ne va pas être la joie dans les bistrots de nos campagnes, si on ne peut plus boire un jus en tirant quelques bouffées d’une tige de hhuit, en jactant avec des gonzes esseulés qui n’ont qu’un rade comme point de rencard.


Voudrait-on nous empêcher de communiquer physiquement ? Ne serait-ce pas un nouveau moyen pour diviser ? Allez savoir ! – Cette remarque est valable pour un grand nombre de cafetiers de l’hexagone, qui, n’en doutons pas, vont probablement disparaître faute de clients.

 

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A mon humble avis, pour créer un peu plus de chômage, c’est la bonne solution.


Dans le dossier (ça, ça fait inquisition) de la drogue/tabac, ce qui est paradoxal, c’est qu’il sera même interdit de fumer dans les bars-tabac !!!! A quand l’interdiction d’utiliser sa voiture ? Ne plus regarder les filles ? Ne plus aller aux p.. ? (Ca, c’est fait !) ? Ne plus fumer au volant ? etc…, etc.


Pour conclure, je reprendrais quelques paroles du ‘tango funèbre" du Grand Jacques Brel


 


"Je vois déjà tout ça, et on a le brave culot, d’oser me demander de ne plus boire que de l’eau, de ne plus trousser les filles, de mettre de l’argent de coté, d’aimer le filet de maquereau, et de crier vive le roi, ! ah, ah, ah, ah, ah