EDIITORIAL - juin 2009
www.taximag.fr
trafic.baquet@wanadoo.fr – trafic-baquet@orange.fr
Je ne remercie pas l’A.C .O. (Automobile Club de l’Ouest) pour son manque (j’allais dire de convivialité) mais je dirais plutôt, le côté jugulaire des responsables de la communication ! La procédure, c’est la procédure, et ils (elles) n’en sortent pas ! Je ne vais pas gaspiller du papier pour vous raconter toute l’histoire afin d’essayer de faire accréditer notre ami Etienne Moity, grand journaliste d’autos de compétition et « vieux » compagnon de route de la célèbre course de 24 heures du circuit Sarthois. ‘’Vous n’avez pas respecté la -procédure-, c’est non !’’. Toujours dans le même registre et pour le même site, même remarque pour le musée de l’automobile… Pas de réponse à nos mails, pour avoir quelques photos… Z’auraient pas un peu la grosse tête à l’A.C.O. ? Ils ont oublié le temps des vaches maigres semble-t-il ! Déontologie oblige, on vous parle tout de même du musée « newlook ».
Je ne remercie pas la compagnie aérienne « easyJet » (comptoir de Nice) pour m’avoir refoulé (comme une….) parce que je me suis présenté avec 3 minutes de retard (j’ai la preuve) à l’enregistrement -il restait tout de même 42 min.- avant le décollage de l’avion. Là aussi c’est jugulaire, et je ne suis pas certain que nous soyons considérés comme des clients. Résultat des courses, je n’ai pas pu essayer la nouvelle Classe S… D’un autre côté : les vols ‘’low cost’’, ne sont pas vraiment ma tasse de thé ! J’ai p’t’être pris aussi la grosse tête ? Il serait bon de savoir, si mon billet n’a pas été revendu ? Je vais me renseigner auprès de l’agence qui s’est chargée de mon acheminement, on ne sait jamais.
Je ne remercie pas tous les p’tits « chefaillons » souvent avec des képis, qui, jugulaire-jugulaire, m’ont obligé à faire des tours et des contours dans les environs de Sainte Maxime afin d’accéder à un endroit, duquel j’ai pu faire quelques photos lors de la venue du président Sarkosy le 8 mai dernier pour la commémoration du débarquement dans le Var le 15 août 1944.
Mémoire : Ce débarquement avait permis d’ouvrir un deuxième front en France après le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie. De juin 1940 à mai 1945, cinquante-cinq mille Algériens, Marocains, Tunisiens et combattants d’Afrique noire
furent tués. Vingt-cinq mille d’entre eux servaient dans les rangs de l’armée d’Afrique. Cette armée compta quatre cent mille hommes, dont cent soixante-treize mille Africains, cent soixante-huit mille Français d’Afrique du Nord. La France "n’oubliera pas les soldats américains tombés à leurs côtés sur ces plages. Elle n’oubliera pas les soldats alliés couchés sur la terre de Normandie", a ajouté M. Sarkozy, qui commémorera le débarquement de Normandie le 6 juin en présence du président américain, Barack Obama.
Christian Thomas