EXEO by SEAT

 . Ensuite, l’Alhambra avait lui aussi marqué des points dans le taxi. Ce qui ne fut pas le cas du dernier modèle Toledo, peut-être un peu trop massif et probablement mal promu ! Gageons qu’avec l’Exeo, la belle -espagnole- du groupe VW, devrait réussir à s’implanter sur un marché en pleine mutation. De toute façon, l’Exeo est une Exeo ! Motorisations : Bien évidemment ce sont les « mazout » qui seront plébiscités ; les dirigeants de la marque tablent sur 95% des ventes en diesel. Il faut dire que les deux motorisations 2.0 TDI : 143 ch. & 170 ch. essayées sur les petites routes de l’arrière-pays niçois, ont parfaitement tenu leurs rangs. Peut-être un petit reproche pour le 2e rapport qui m’a semblé un peu court. Cela étant, avec des couples de 320 Nm de 1 750 à 2 500 tr/min et 350 Nm de 1 750 à 2 500 tr/min, pas besoin de pousser les régimes… sauf dans des –droites- en épingle avec un fort pourcentage de montée !

 De toute façon, à part quelques -fondus- qui aiment encore se faire plaisir, il est formellement interdit de conduire (piloter) de cette manière. Mais pas vu, pas pris… pour une fois ! Il est bon de préciser que les 2 modèles essayés étaient équipés de sièges –baquet- électriques pour le modèle 170 ch, et sièges –baquet- manuels pour la motorisation 143 ch. C’est peut-être un peu raide, mais on est vraiment bien calé, et le dos ne subit pas une multitude de torsions. À partir d’un certain âge, il faut savoir préserver sa carcasse. Les finitions sont très convenables et les équipements de sécurité -de série- pléthoriques. La garde au toit des places arrière est satisfaisante, de même que la place pour les jambes des passagers (ères), si ces derniers ne pratiquent pas le basket ! Pas de problèmes pour les bagages, la capacité de coffre est de 460 litres.

Pour ma part, je pense que le modèle 2.0 TDi 143 ch. est très suffisant

pour la profession. Son

couple vous permettra de