Abstention

  

37 % d’abstentions,

c’est vraiment pas sérieux !

 

 

 

Les citoyens français : nous, vous, ils… allons encore avoir
la malchance d’être dirigés par tout le monde, en clair n’importe qui ! Un
pouvoir central de droite, des régions majoritairement à gauche, beaucoup de
grandes villes à gauche, ± 60 départements à gauche, etc.

En clair, c’est une nouvelle bipolarisation des appareils
étatiques qui ont une fâcheuse tendance à une certaine lourdeur et lenteur
  administrative. Voilà une façon qu’elle est
bonne… pour faire traîner les dossiers, "ce n’est pas nous qui nous occupons de
ça, voyez la région, le département, ou le contraire". "Ce n’est pas de notre
ressort, adressez vos réclamations au ministère de…", ainsi de suite.
  C’est pas mtaximaghumeur.gifoi c’est l’autre, ou celui qui
était là, avant ! Ou encore avant, ceux qui était là avant ! En fait c’est
toujours la faute des autres.

Mais ces autres, ce sont tous des politiques : de droite
comme de gauche depuis fort longtemps.
 

Moi j’veux bien, mais tout ça, sent vraiment la grosse
magouille. Du style cette fois, c’est mon tour.

En fait, beaucoup d’élus de tous bords arrivent fréquemment
des grandes écoles : ENA, Polytechnique, Essec, Sciences po, Mat
h sup, HEC,
etc., beaucoup se connaissent. Comme vous vous en doutez, les tous bons vont
dans le privé, et les autres entrent en politique ou dans les grandes
entreprises d’état. C’est moins risqué, quoique ! `

Le problème en politique, c’est qu’il n’y a pas de la place
pour tout le monde, donc : vous pouvez très bien retrouver par manque
de place
à droite, un individu (homme ou femme) issu d’une famille riche, à gauche !
Pour ma part, je reste convaincu que les convictions n’ont pas grand-chose à
voir dans tout cela ! C’est plutôt l’ego, le goût du pouvoir, la démagogie, le
besoin de paraître, et aussi pour les passe-droits, les salaires et autres
avantages octroyés aux princes et princesses qui nous dirigent.
 

 

Résultats de toutes les élucubrations de ces derniers depuis
des décennies
:

Selon l’Insee, la dette de la France a atteint le niveau
record de 66,6 % du PIB à la fin du deuxième trimestre. Elle s’élève à 1 216,4
milliards d’euros *. Au 2e trimestre de 2007, l’ensemble de la dette publique (Etat,
organismes d’administration centrale, collectivités locales et Sécurité
sociale) a augmenté de 32,3 milliards d’euros par rapport au trimestre
précédent, a annoncé, vendredi 28 septembre, l’Institut national de la
statistique et des études économiques (Insee).

Elle atteint le niveau record de 66,6 % du PIB. Le niveau de
la dette publique est bien supérieur au taux du pacte de stabilité européen,
fixé à 60% par l’Union européenne.

*ça augmente chaque jour.

 

NDLR : Bien évidemment, tous les maires des petites villes
et villages de France, ne sont pas visés par ces propos. Seuls les appareils
politiques des grands partis sont mis en cause dans ce texte qui n’engage que
moi.

 

Christian Thomas