NOUVEAU GRAND VOYAGER
c’est du lourd !
Avec ses 5,15
mètres de long et son 1,95
mètre de large, le Grand Voyager peut s’enorgueillir
d’être le plus « kolossal » monospace du marché, et aussi, mais c’est
à vérifier :
le plus lourd.
Chrysler explique que le nouveau Grand Voyager reprend des éléments
distinctifs de la belle 300 C : calandre proéminente ainsi que les formes
des projecteurs.
Une seule, et même motorisation pour ce modèle, 2.8 CRD
quatre cylindres en ligne de 2 768 cm3, 16 soupapes, transmission aux roues
avant pour une puissance de 163 ch à 3 800 tr/min et un couple de 360 Nm dés 1
600 tr/min. La boîte est uniquement disponible en version automatique (6
rapports) ce qui n’est pas pour nous déplaire.
Le Voyager atteint quand même, malgré son poids de plus de
deux tonnes les 185 km/h
(sur circuit). Sa consommation urbaine (constructeur) est de 12,8 l/100, extra
urbaine (constructeur) de 7,4
l au 100. Mixte (constructeur) : 9.3 litres au 100.
Moyenne d’émission de CO2 : 247 (g /km).
L’habitabilité offre des dimensions intérieure généreuses,
et modulables avec des sièges encastrables sous le plancher, celui-ci étant lui
aussi truffé de compartiments. Un véritable voyage en -première classe- grâce à
son intérieur qui vous rappellera celui d’un avion de ligne. Le système
audio-vidéo pour toute la famille avec deux écrans et toutes les connectiques
possibles pour combler le fan de jeux vidéo ainsi que le cinéphile. Seul petit
reproche concernant les deux écrans, ils sont malheureusement placés aux milieu
et trop bas ce qui nuis pour la visibilité
arrière du conducteur.
Le GPS de bonne facture est lui aussi présent, quoique
celui-ci n’indique pas les radars fixes… dommage ! Le confort des sièges
est remarquable avec des réglages électriques souples et faciles.
La finition dans l’ensemble est correcte et la nouvelle
ligne du Grand Voyager est vraiment agréable. Les tests de sécurité n’ayant pas
été pratiqués avant nos essais, tout ce que nous savons est que le Chrysler
Grand Voyager a obtenu ses cinq étoiles sur le marché Nord Américain.
Pour ma part,
une bonne surprise que ce géant de la route…
Texte et photos
Ludovic Thomas |