Velib

taximagpoilgratter.gifVELIB’ SUITE, mais pas fin !

Comme les photos l’attestent, malgré ‘’L’ENORME SUCCES » enregistré… (dixit la mairie de Paris), nous nous sommes permis de sillonner différentes rues, avenues, places, etc. de la capitale, afin de rendre compte !

Ces photos ont été prises le mercredi 5 septembre dernier, par très beau temps. Comme vous pouvez le constater, l’ENORME SUCCES, bat de l’aile, c’est velib-test.gifprobablement pour cela que les employés municipaux bénéficient de la gratuité ! Faut bien combler. Quand on pense au manque crucial de parkings moto ! Pour le reste, vous connaissez mon opinion (Taxi Mag 175). Une chose est sûre, lors de notre ballade, nous avons pu constater avec regrets,  l’état de malpropreté d’un grand nombre de boulevards, et pas des moindres ! Ça aussi messieurs les « verts » c’est de la pollution. En plus celle là, elle est visible. Lorsque l’on a la chance d’être aux manettes de la ville la plus touristique du Monde, il faudrait peut-être faire un effort ! ceux d’entre vous qui écoutent les « grosses têtes » RTL auront probablement entendu la supplique adressée aux utilisateurs de Vélib’ par Jacques Balutin le mardi 18 septembre dernier ; que dire de plus ? Si, en fait, dés qu’il va faire mauvais temps, ça ne devrait pas trop vous « piquer » de courses…

velib-stationneL.C.D.

Lourd,

Chiant,  Dangereux

Ce sont les trois adjectifs qui ressortent de l’essai pratiqué par nos soins.

Tout d’abord,la caution de 150 euros (109 €, le VTT chez Décathlon) peut parfois être débitée sûrement par erreur … Puis l’utilisation : le vélib’ est un calvaire. Il faut pouvoir le décrocher des bornes parfois capricieuses. Chose faite, le réglage de la selle n’est pas possible pour tous les bras. De plus, elle aussi dangereuse, aurait besoin d’un anti-dérapant pour le postérieur.

Maniable comme une brouette chargée à bloc, le vélib’ reste dangereux dans la circulation parisienne.  Quand, après tout ce parcours, vous voulez rendre votre vélo, faut-il encore trouver une borne de libre, pour nous il fallut aller jusqu’à la troisième pour nous débarrasser de notre calvaire. Ensuite, marche à pied pour retrouver l’endroit où nous étions censés revenir.

Pratique et quelle rapidité !

Ludovic Thomas